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Sponsorisé La Pink Lady®, du champ à l’assiette
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On ne connaît pas toujours l’histoire de chaque pomme. La Pink Lady® est née dans les années 70 en Australie. Elle est issue d’un croisement naturel entre la pomme Lady Williams et la pomme Golden Delicious et c’est un Australien, John Cripps qui en a eu l’idée. Depuis, cette pomme est cultivée en Italie, en Espagne et surtout en France, pays où nous vous proposons une petite excursion dans les vergers.

 

A chaque fois que vous croquerez dans cette jolie pomme, sachez que des pomiculteurs travaillent quotidiennement dans leurs vergers pour assurer la meilleure qualité possible. Si vous avez la chance de visiter un jour un verger de pommes Pink Lady® dans le Sud-Est, le Sud-Ouest ou le Val de Loire, foncez, c’est magnifique, surtout au printemps, au moment de la floraison. Quant à la récolte, c’est en novembre qu’elle a lieu, entièrement à la main, histoire de ne récolter que les fruits à pleine maturité. Autant vous dire qu’il y a du monde dans les vergers.

 

 

Ce que font les pomiculteurs pour lutter contre les nuisibles

Le pomiculteur passe beaucoup de temps à observer ses vergers. Heureusement les exploitations de Pink Lady® sont à taille humaine et utilisent des méthodes alternatives qui préviennent l’arrivée des nuisibles. Par exemple, on peut diffuser des phéromones - substances attractives identiques à celles produites par les femelles de carpocapse – dans les vergers pour désorienter le mâle et éviter la prolifération de cet insecte.

 

Il implante aussi des haies composites plantées aux abords des vergers qui participent à garantir la biodiversité. Il installe aussi des nichoirs dans les vergers pour abriter les prédateurs naturels des ravageurs habituels des pommiers.

 

 

Il faut du temps et du travail pour produire une Pink Lady®

On pourrait s’imaginer que les pommes poussent tranquillement mais, tout au long de l’année, les pomiculteurs bossent d’arrache-pied pour assurer une production de qualité. 

 

Au printemps, avec la pollinisation assurée par les abeilles, le pomiculteur sélectionne les fleurs les mieux exposées à la lumière, ce qui permet de ne pas surcharger l’arbre et d’obtenir des fruits bien colorés et calibrés.

 

En été, pas de repos pour le pomiculteur qui va, à la main, retirer les fruits abîmés ou trop nombreux pour équilibrer les branches. Il effectue aussi un effeuillage manuel pour garantir à chaque fruit un ensoleillement maximal. Pendant cette période, une attention toute particulière est portée à l’irrigation des arbres.

 

A l’automne, c’est enfin le temps de la récolte qui se fait à la main. Chaque pomme est prise dans le creux de la main puis basculée vers le haut, afin de vérifier qu’elle se détache bien et qu’elle est donc à pleine maturité. Trois passages sont effectués, afin de ne cueillir à chaque fois que les fruits mûrs.

 

Enfin l'hiver, quand les arbres sont dépourvues de feuilles, le pomiculteur procède à la taille des branches pour préparer la prochaine production. Cela permet d'assurer une bonne distribution et un bon équilibre des branches afin d’optimiser l’exposition et la croissance des futurs fruits.  

 

 

 

Pour assurer la qualité de chaque pomme

La récolte est déclenchée lorsque la pomme est à pleine maturité, on mesure pour cela son taux de sucre, fermeté….

Une fois récoltées, les pommes passent sous l’œil aguerri et entre les mains d’emballeuses qui ne sélectionnent que les pommes qui répondent aux exigences du cahier des charges. Cela correspond à environ 70% des pommes cueillies. Le reste des pommes n’est pas jeté (pommes plus petites par exemple) mais sera utilisé par des entreprises de transformation alimentaire pour faire par exemple du jus de pomme ou de la compote.

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