Ce sondage révèle comment les Français choisissent leur restaurant en 2025

Avec l’évolution des habitudes de consommation et l’impact des nouvelles technologies, les critères qui influencent le choix d’un restaurant ont considérablement changé ces dernières années. En 2025, les Français sont plus exigeants et attentifs à plusieurs facteurs avant de se rendre dans un établissement, notamment depuis la crise sanitaire. À l’occasion de la tenue de la cérémonie du guide Michelin 2025, Ipsos a dévoilé les résultats de son étude « Les Français et la gastronomie ». Voici ce qu’il en est ressorti.

Malgré l’émergence des cuisines étrangères au sein de l’Hexagone, les Français sont toujours aussi friands de la gastronomie française. Comme le prouve cette récente analyse, ces derniers raffolent notamment du bœuf bourguignon, du cassoulet et de la blanquette de veau. Si de plus en plus de gourmands se lancent le défi de cuisiner maison, certains continuent tout de même de se restaurer dans les établissements culinaires situés aux quatre coins du pays. Mais comment les Français choisissent-ils les restaurants dans lesquels ils vont déguster ces plats emblématiques ? D’après les experts, ceux-ci sélectionnent l’établissement culinaire grâce aux avis Google et assimilés avec 53 %. Par la suite, les notes laissées sur le site Tripadvisor priment avec 45 %. Le bouche à oreille, avec 42 % est également un critère décisif dans le choix d’un restaurant. Les recommandations d’amis, de collègues ou de proches restent une valeur sûre pour bon nombre de Français.

Mais les habitants de l’Hexagone sont-ils nombreux à se restaurer dans ce type d’établissement. Avec la crise du Covid-19, beaucoup ont appris à cuisiner directement chez eux. Cette habitude a-t-elle changé ces dernières années ? Et bien, d’après l’enquête menée par Ipsos, seulement 4 % de Français ne mangent jamais au restaurant. En dehors des repas professionnels, ils sont 39 %, soit 1 Français sur 4, à manger dans un établissement culinaire au moins une fois par mois. Pour 57 % d’entre eux, cette activité reste, toutefois, occasionnelle.