Si les banques courtisent volontiers les jeunes étudiants pour financer leurs études, que se passe-t-il ensuite, quand ils veulent monter ou développer leur entreprise ?
Ã?glantine Clément et Aurélien Camandone, gérants de la brasserie artisanale « La Débauche » à Angoulême peuvent répondre à cette question.
Après un début prometteur en 2013, ils se voient refuser de la part de plusieurs banques un prêt de 100 000 euros, ce qui pose problème pour le développement de leur petite entreprise. On leur reproche d'être trop jeunes et d'être dans une activité risquée. Et pourtant, leur entreprise marche plutôt bien.
Leurs bières plaisent mais sans évolution, ils sont du mal à répondre à la demande et leurs clients risquent d'aller se fournir ailleurs.
C'est le comble, non ?
Du coup, comme ils ont beaucoup d'humour et qu'ils ne veulent pas se laisser abattre, ils viennent de lancer une bière appelée «Slap a banker», soit la gifle aux banquiers.
Sur cette lancée, ils viennent de lancer un appel au financement participatif sur Ulule, surnommé «Paie ta cuve». On leur souhaite de réussir, sans les banques !
D'après une histoire trouvée sur le site de la Charente libre.
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