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"Elle a recraché… c'est du respect ?" : Stéphanie Le Quellec revient sur le comportement d’un juré en saison 2 de Top Chef
Cristina LièvrePar  Cristina Lièvre  | Rédactrice

Si la gourmandise était un métier, j’aurais été embauchée en CDI depuis longtemps. Pour moi, manger n’est pas juste une nécessité, c’est une passion voire même une obsession. Dès 10h du matin, à peine arrivée au bureau, je pense déjà à mon prochain repas. Travailler dans ce milieu est une évidence. La nourriture, c’est mon péché mignon… et mon boulot.

Top Chef a fortement évolué en 16 saisons. De nombreux candidats sont passés dans les cuisines, mais également de nombreux chefs ont endossé le rôle de jurés. Lors des premières éditions, d'ailleurs, ils ne prenaient pas de pincettes avec les candidats. C’est d’ailleurs ce qu’a dévoilé Stéphanie Le Quellec dans une interview.

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"Elle a recraché… c'est du respect ?" : Stéphanie Le Quellec revient sur le comportement d’un juré en saison 2 de Top Chef

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Stéphanie Le Quellec est la cheffe qui connaît sans doute le mieux les rouages de l’émission Top Chef. En effet, après avoir été candidate et grande gagnante de la saison 2, elle est revenue depuis quelques années comme jurée de la brigade orange. Un rôle qu’elle a tout de suite endossé avec brio et qui l’a menée jusqu’à la victoire. L’année dernière, c’est son candidat Jorick Dorignac qui a remporté le concours.

Dans plusieurs interviews, la cheffe du restaurant gastronomique La Scène est revenue sur le rôle de coach mais également sur l’évolution de la place des jurés entre la deuxième saison et aujourd’hui.

Un rôle de coach plus qu’apprécié par la cheffe

La boucle est bouclée pour Stéphanie Le Quellec. Aujourd’hui, elle a pris la place de jurée après avoir été candidate de Top Chef. Un vrai atout pour elle comme elle expliquait il y a quelque temps à Télé-Loisirs : “C'est pour ce partage d'expérience que j'ai accepté de venir. Mon vrai atout, c'est d'avoir été à la place des candidats. Je savais exactement ce qu'ils pouvaient ressentir, l'état dans lequel ils étaient physiquement et mentalement”, affirme la cheffe, regrettant presque de ne pas avoir vécu ça elle-même dans sa propre saison : “En tant que candidate, je ne m'en rendais pas compte. Même si, à mon époque, il n'y avait pas de coaching. Les jurés étaient juste là pour juger. Ce qui fait la richesse du programme aujourd'hui, c'est cet échange et cette transmission. Je regrette presque d'avoir été en saison 2 et de ne pas avoir eu la chance d'intégrer une brigade pour me nourrir de l'expérience directe d'un chef”. En effet, à ses débuts, l’émission Top Chef était bien différente et les jurés beaucoup plus durs, il faut bien le reconnaître.

La saison 2, une autre époque ?

Dans les colonnes de Ciné Télé Revue, la cheffe s’est ainsi remémorée la saison 2, quand elle était alors candidate. À ce moment-là, les jurés n'avaient pas la langue dans la poche et n'hésitaient pas à exprimer leur mécontentement quand un plat n’était pas à leur goût. C’était le cas notamment de Ghislaine Arabian : "Il y a eu cette épreuve où elle a recraché la préparation d'un candidat : est-ce que ça, c'est du respect ? Je ne pense pas. Il faut plutôt expliquer au cuisinier ce qui ne va pas, comment il peut améliorer son plat", regrette-t-elle dans le magazine belge.

Un avis partagé par Noémie Honiat, candidate de la saison, qui s’est également confiée sur le sujet.

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