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“Je suis même à la limite du dégoût” : Stéphanie Le Quellec dévoile cet aliment qu’elle ne peut absolument pas manger

La cheffe étoilée Stéphanie Le Quellec a dévoilé ses habitudes alimentaires ainsi que ses goûts. Si vous ne voulez pas qu’elle quitte la table, il y a un produit à ne surtout pas lui proposer !

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Abaca

C’est en 2011 que Stéphanie Le Quellec est entrée dans le coeur des Français avec son passage dans la saison 2 de Top Chef qu’elle remportera brillamment. Aujourd’hui la boucle est sur le point d’être bouclée puisque la cheffe s'apprête à rejoindre le jury de Top Chef lors de cette saison anniversaire qui marquera les 15 ans du programme. Au-delà de son aventure télévisuelle, Stéphanie Le Quellec a été récompensée par 2 étoiles Michelin pour son restaurant gastronomique situé dans le 8e arrondissement de Paris, La Scène. Elle est également une cheffe médiatique qui se prête volontiers au jeu des questions des journalistes. Lors de sa dernière interview en date accordée au Parisien, elle a d’ailleurs dévoilé ses habitudes en termes de cuisine. 

 

La passion des plats mijotés

Lorsqu’il est question de nourriture, Stéphanie Le Quellec l’associe directement au plaisir, au partage, et à la cuisine familiale. C’est certainement pour cette raison que la cheffe étoilée ne jure que par les plats mijotés, dont le pot-au-feu : “C’est vrai que maintenant que j’ai passé la quarantaine, je sais que la cuisine mijotée — on pourrait dire la cuisine cuisinée — est mon ADN. Ces dernières années, avec des plats que je qualifierais d’assemblage, certains s’étaient éloignés de l’ADN de la cuisine française. Même dans mon restaurant gastronomique, la Scène, je revendique d’être une mère cuisinière... de 2023.


Bien que cette cuisine simple puisse paraître aux antipodes de la gastronomie étoilée, Stéphanie Le Quellec avoue ne pas pouvoir s’en détacher et en aimer tous les aspects. “Les plats mijotés un peu trop cuits, avec des imperfections et des petits morceaux qui flottent pas toujours très esthétiques, représentent une cuisine d’amour, une cuisine nourricière. Vous savez, malgré la perfection d’un plat et du service en salle, dans certains endroits la magie ne prend pas. C’est comme en amour : on tombe amoureux du charme plus que de la beauté”, avoue-t-elle.

 

Des fourneaux à la cuisine familiale

Concernant ses habitudes, la cheffe étoilée explique cuisiner des plats plus simples lorsqu’elle cuisine pour sa famille : “Quand des amis viennent dîner, ils s’attendent parfois à un repas étoilé, alors qu’ils sont dans notre appartement. Le repas sera différent, quoique fondé sur les mêmes convictions : de beaux produits, des sauces, de l’amour et de la générosité. On essaie de faire plaisir. Si un invité aime la crème caramel, on va lui en préparer une bonne, avec du lait et des œufs ultra-frais rapportés de chez notre voisin en Normandie, où nous avons une maison de campagne.

 

À l’instar de Glenn Viel, un autre jury de Top Chef, Stéphanie Le Quellec avoue ne pas s’alimenter “comme il le faudrait”. “Au restaurant, on passe à table à 11h30 avec toute l’équipe. Chacun cuisine à son tour pour la « famille », explique-t-elle. Le vendredi, en plus, on ouvre une belle bouteille. Le soir, je dîne aussi avec l’équipe à 18h30, sauf deux ou trois fois par mois où j’essaie de rejoindre mes enfants”. 


Pour finir, la cheffe est interrogée au sujet de l’aliment qu’elle déteste le plus. Sa réponse ne se fait pas attendre : “Les fromages bleus. Je n’en mange pas... Je suis même à la limite du dégoût ! Manger un morceau de gorgonzola, dont ma mère raffole, c’est un supplice depuis toujours. Mes goûts ont évolué avec les années, mais pas sur ça…

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