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“ Je pense que ça doit être en rapport avec mes origines bretonnes” : Yann Couvreur dévoile ce qu’il y a toujours dans son frigo !

Chips, vanille, tropézienne : on fait le tour des aliments insoupçonnés dont le pâtissier Yann Couvreur ne peut pas se passer.

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Abaca 

Yann Couvreur est devenu incontournable dans le monde de la pâtisserie au fil du temps. Son emblème fétiche, le renard, est désormais une signature identifiée par tous les gourmands. Entre tarte au citron ou dessert au chocolat, ses créations allient parfaitement classicisme et audace. Mais aujourd’hui, il n’est pas question de parler de ses astuces ou de ses conseils. Particulièrement curieux de savoir ce qu’il se cache dans son frigo et ses placards, nous avons décidé de nous intéresser à ses habitudes culinaires. D’ailleurs, le chef pâtissier s’est confié sur le sujet à nos confrères de Cuisine Actuelle. Voici ce qu’il fallait retenir.

Ses aliments fétiches

Le pâtissier Yann Couvreur reconnaît avoir toujours dans son frigo deux ingrédients très populaires auprès des consommateurs : “Il y a toujours du beurre, c’est sûr et aussi des pom’potes car oui j’ai deux enfants”. Côté placard, là aussi il reconnaît ne pas pouvoir se passer de la vanille et de la fleur de sel. Comment expliquer cela ? “ Je pense que pour la fleur de sel c’est en rapport avec mes origines bretonnes et pour la vanille c’est tout simplement que je suis plus team vanille que team chocolat”.

 

Et enfin, chaque chef a son péché mignon. Si on vous apprenait récemment que c’était le Caprice des Dieux pour la cheffe Darroze, il s’agit d’un paquet de chips nature mais bien salé pour Yann Couvreur.

S’il était une recette…

Mais Yann Couvreur ne peut pas cacher son amour pour l’univers sucré. D’ailleurs, il reconnaît que s’il était une recette, il serait la tropézienne mais ce n’est pas seulement pour son goût. Il apprécie également le fait “de se dorer la pilule” au soleil. 

 

Mais même si la tarte tropézienne le séduit, sa madeleine de Proust reste néanmoins la religieuse au café. Il commence d'ailleurs toujours par dévorer le plus petit chou avant tout. Car oui, la dégustation des pâtisseries, c’est sacré !

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