Capture d'écran Instagram
Le mercredi 13 mars dernier, les téléspectateurs ont pu assister au premier épisode de la nouvelle saison de Top Chef. Une saison anniversaire qu’elle fête cette année ses 15 ans. Pour l’occasion, de nombreux rebondissements sont au programme comme l’arrivée de deux nouvelles chefs dans le jury : Stéphanie Le Quellec et Dominique Crenn.
C’est avec plaisir, qu’on retrouve Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Glenn Viel et Paul Pairet. Aujourd’hui, on va justement s'intéresser à ce dernier chef, à la tête du restaurant à Shanghai de l'Ultra Violet.
Dans cet article, on va surtout s’intéresser au look du chef Paul Pairet. En effet, il a imposé son style : tablier gris, chemise et surtout la casquette. Un accessoire qui est devenu au fil des années sa marque de fabrique. Mais pourquoi ne s’en sépare t-il jamais ? Le chef s’est confié sur le sujet à plusieurs médias.
“J'ai toujours porté une casquette depuis que je suis cuisinier”
Si certains cuisiniers ne peuvent pas se passer de leur toque, Paul Poiret, lui a troqué ce couvre-chef traditionnel pour une casquette. Un accessoire qui fait aujourd’hui partie de son ADN. D’ailleurs, on ne l’a jamais vu sans et on vous met au défi de trouver une photo de lui sur internet sans cet indispensable.
Mais alors, pourquoi porter une casquette ? La raison est simple, à l’époque, “c’était pour cacher ma calvitie naissante”, confie le chef au JDD. Il continue et explique à Télé Loisirs qu’avec le temps, il a finalement adopté cet accessoire : "J'ai toujours porté une casquette depuis que je suis cuisinier. Quand j'ai perdu un peu de cheveux, je l'ai gardée ! Cela fait partie de ma tenue".
“Quand j'en change, on ne me reconnaît pas”
Au fur et à mesure, le chef a même développé une certaine passion : "J'adore les casquettes, j'en ai une collection de dingue. Elles sont plus connues que moi !".
Si le chef adore les casquettes, il avoue avoir une préférence pour l’une d’elles, celle qu’il porte le plus et notamment lors de chaque épisode de Top Chef : "Elle est coupée comme celles de l'armée chinoise, époque Mao. Même si je n'ai pas forcément une approche militaire (…) Ça fait trente ans que je porte une casquette en cuisine”, précise t-il au Parisien avant de conclure : “Quand j'en change, on ne me reconnaît pas. Ma casquette est plus connue que moi !".